Observation,renseignement,dans l'artillerie.

Les méthodes de l'artillerie.

   -   "  La  préparation ( d' artillerie)  vaut ce que vaut l ' observation "  dans Figures de chefs , d' Henry Bordeaux . ( " Et aussi, pour " alimenter le feu" , il faut une exellente logistique pour approvisionner les caissons en U.E- unités de feu ! parceque  les canons " çà mange"" beaucoup d' obus; (...et aussi une ligne logistique trés bien protégée des attaques d'avions, de parachutistes, de civils "pas civils du tout comme celà a été le cas sur Sedan et ses arrières, et même s'il y a trés peu de preuves...!". ) 

      Comment observe et se renseigne l'artillerie? : à vue, par air, par sons, par lueurs,"à la carte", à la radiogoniomètrie," à tâtons"(coups fusants hauts!- si ça ne tire plus en face, c'est qu'ils sont probablement morts!), sources " autres"...

 - Elle observe , à vue , par les observatoires terrestres, isolés, ou avec l'Infanterie, statique , ou en mouvement par liaison avec les troupes  appuyées;

 - Elle observe " par ballons , par avions ou autogyres ". Et également les renseignements de diverses sources( ...)

 

       obs parfait:Montfaucon-église 1916,allemand!

   - l ' observatoire " presque parfait" de Montfaucon , un parmi 17 autres , datant de 1916 ; mais il avait le tort d ' être " en face" , chez les Allemands ; construit avec "les moyens du bord" c ' est à dire dans et avec les pierres de l ' église de Montfaucon ; observatoire  en dur- trés solide, et petit ; chaque observatoire avait un secteur dévolu, auquel était adjointes des batteries, suivant les besoins ( grande mobilité) . Aparté :ILS étaient venus pour rester, et avec l ' intention de s' installer sur les terres conquises , avant d' en prendre plus. ( " On commence à dire, dans les bouquins récents d' Histoire , que les Allemands avaient l ' intention de rester" chez eux"- en France-Est- , puisqu 'ils " étaient" en Lotharingie, donc dans le Saint Empire Romain Germanique ; Empire qui fut " cassé" par Napoléon aprés la victoire de Slvakov-Austerlitz ; Hitler , lui , voulait refaire la Franconie Ocidentale ; il n ' était pas seul ; derrière lui , les généraux et beaucoup d' Allemands le poussaient dans le dos"-.  

          Observatoires de Flabas -trois- , qui "regardaient" par périscopes les Français du Bois des Caures : accés par puits et galeries :  les dalles de puits ont été sautées- cassées ; réseaux de " taupinières".Allemands là depuis Aout 1914 . La RFV -Région Fortifiée de Verdun a " servi" de pivot aux armées impériales d' invasion , jusqu' à ce que la Iere armée Von Hausen se mette en défaut entre Meaux et Paris , faille exploitée tout de suite par Galliéni, ses Zouaves en taxis,et les petits Français en pantalon rouge "bataille de la Marne"( " race et pays décadents , démocratie faible" ( " faible .. oui, hélas...;-mais pays riche, ce que considéraient les Allemands qui cherchaient tout bonnement à le coloniser... ).

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  -   " Coups fusants hauts" : Lorsqu ' un objectif , défilé aux vues , est repéré par un moyen autre que la vue directe , "les tirs sont mis en place d'aprés les renseignements des sections de repérage par coups fusants hauts" ; systême établi aprés une triangulation assez simple , mais calculs fastidieux ; C'est dans les attributions du R.A.T.A.C , pour ceux qui connaissent la machine, installée sur AMX-VTT, ou autres. (- objectifs défilés aux vues , tels " les contre-pentes" : trés dangereux : - c ' est comme çà , qu ' en Avril 1917 , on a failli  " tuer l' armée française" - et surtout que nombre de ses meilleurs éléments sont morts !- à l ' offensive bête et obstinée du Chemin des Dames, dans les contre-pentes de Courtecon , d ' Ailles  ,d' Ostel , de Aisy , où les vagues françaises - qui s ' étaient déjà fait démolir par les mitrailleuses  allemandes " sorties de  sous-terre", se faisaient achever par l ' artillerie française , qui tirait " mathématiquement " , mais sans voir , et ce , d ' aprés des plans de "tir en marche" ; voir " l' affaire du Chemin des Dames , les cabinets secrets" , d' Henri Castex ; il n ' y avait pas de radio , seulement des fusées, et on ne voyait rien , en plus de la fumée et des explosions ) ( " et vous auriez voulu qu ' ils ne se révoltent pas ? ....)

 Entrée   -   Obs 1940 : Obs et P.C 1940   Observatoire-guerite pentagonale à St Walfroy ( la guérite est sous le béton) (et également " sous la pluie")Wp 001932

  - Repérage aux Lueurs : - Elles sont observées également par les batteries de repérage autres :

                     -  Section de repérage par observation terrestre SROT , sur " des batteries qui se révèlent par les flammes, lueurs , fumées".

  -  Repérage aux Sons        :           -  Section de repèrage par le son  , SRS , repérages effectués par triangulation , faits à partir d' appareils enregistreurs reliés ensemble par cables électriques , et disposés en éventail;  et aprés  de " bons calculs" ( foyers , hyperboles,..etc) , on détermine la position ennemie...  

   - Tous ces systèmes sont globalisés et les renseignements concentrés au service  du renseignement d' artillerie , S.R.A; Il fournit des renseignements sur l' ennemi et sur l'ensemble du dispositif ennemi .

   -  Exemple de la globalité SROT-SRS et SRA , et des effets , les 9, 10 et 11 Novembre 1918 , attaque sur la Meuse, au niveau de Flize et Dom le Mesnil , vers Vrigne Meuse, pour créer une tête de pont sur la Meuse , à Nouvion et Vrigne- Meuse , et ainsi forcer les plénipotentières Allemands à activer la signature de l ' armistice : - L ' artillerie française est  enfin arrivée à proximité-Ouest de la Meuse et s' installe vers Sapogne-Feuchères , deux KM au Sud de la Meuse ( , il y a des pièces de 75mm et des 155 courts  mais les appros, qui sont toujours lourds, sont  longs à venir) ; les Allemands interdisent la Meuse avec une batterie  (plutôt groupe) de 105mm installée au Sud de Vivier-au-Court , installée à contre-pente et gênent beaucoup les pauvres fantassins du Commandant  Charles de Menditte .( en plus de deux régiments de la Garde Impériale )..; mais, problème," les Allemands n'ont pas installés leur groupe d'artillerie sur  la même contre-pente que celle pensée par les Français des sections de repérage !. Les tirs français , violents, fournis, tombent drus dans le bois, sur la contre-pente de ce bois, à 100-200 mètres au sud de la batterie allemande , qui continue à tirer et à ennuyer les fantassins français, collés au talus de la voie ferrée Charleville-Sedan .( grand stoïcisme des artilleurs allemands, qui devaient être sourds, avec 200 à 300 coups de 155mm , qui tombaient littéralement " devant le nez",à 100-200 mètres plus au sud... ) . Les artilleurs français avaient fort bien repéré l'artillerie allemande , aux sons, aux lueurs, la bonne direction , mais par défaut de cartes précises , et tirant " à la carte"- on en était encore aux Lambert hachurées, ou peu  à courbes de niveaux,  les artilleurs des sections de repérage faisaient tirer dans la bonne direction mais sur la contrepente lue sur la carte , alors que les Allemands - malins- s' étaient installés sur un "bas- ressaut" " au bout Nord-200 mètres , de la dite contre pente; donc les obus  français tombaient devant, en pleine contre pente - deux -trois hectares d' impacts-, à 200 mètres de la batterie allemande, qui a continué à tirer jusqu'à 11 heures le 11//11/1918. Mais , de toutes façons, avec des cartes au 1/25000  ou un plan directeur , les sections n ' auraient rien LU sur la carte : le" dé--bas-ressaut" fait trois mètres de  " bas" ou de haut  et donc , ne peut figurer sur une carte , sauf si elle est au 1/5.000 ....! Malins , les Teutons !,;

,,Les impacts de 155 étaient visibles au gel de Février 2021, lieu dit "la terre d'obus", prôche de la Méthanisation Ferme Forget ...Grands exemples de précision , d' héroïsme, d' abnégation - des deux côtés-, de qualités, de discipline...Dommage que les industriels, et les généraux allemands aient opté pour l ' orgeuil , et pour un braillard devenu demi-dieu .

" toute guerre en Europe est une guerre civile" Victor Hugo....

                                     

 - Le premier appareil de repérage des départs de coups a été inventé et réalisé par un soldat, territorial, Ferdinand Daussy, " qui subissait les tirs de canons du plateau d' Herbeville , en décembre 1914 et Janvier 1915, et qui , sur place, a acheté un phonographe pour en extraire le moteur- mécanique-, et a monté un appareil, avec un diaposon au " 1/100 eme de seconde...", et du papier fumé..... Ce qui permettait, par triangulation, de repérer les zones de tirs ennemis et donc de les réduire au silence ; site : "fissiaux.org/ verdun 14-18". Ce soldat inventif a - quand même- eu " l ' oreille" de la hierarchie, et est devenu Lieutenant ( " à remarquer et à relever , car quelqu'un aurait pu lui piquer son invention , et l ' envoyer " au feu" pour qu 'il y disparaisse..Et que ce quelqu'un en prenne les lauriers!.....Il y a des gens honnêtes ! et d' autres , malhonnêtes.... )

                                                                                                 ---------------------------------------------------

 - Schéma du dispositif de transmissions d' une division d' infanterie - type , Nord-Est , modéle ayant prévalu de 1918 à 1940 ; derniére modification de février 1919 ; prévaut en 1924; livre d' études de 1939-1940.

  TRS/D.I,instr 1924;études 1939-40.  ( commentaires sur le schéma de 1924 : " 12 compagnies d' infanterie en ligne - deux régiments plus un en réserve-normal-; si chaque compagnie d' Infanterie tient 300 mètres linéaires, ou 500 mètres ( 500/500 ) celà fait un front de 3,5 km maximum ; c ' est peu, grande concentration de gens sur un petit espace ; et si on " l ' étire" sur dix à 15 km , comme en 1940 , IX eme Armée, celà devient " passoire"....Articulation trop lourde.D' ailleurs , les Russes ont abadonné ce système , et sont passés à la Brigade , plus souple.)

    Toute cette organisation est sans faille , logique, dangereuse pour l'ennemi . Elle a été établie lors de la guerre 1914-1918 ; et a connu son apogée en Mars 1918 , en repérant le " Pariser kanone" , qui tirait à partir des environs de Laon sur Paris ; beaucoup de batteries d'artilleries allemandes ont eu à souffrir , tout au long de la guerre , et déjà en Septembre 1914 - lors de " la  Marne" , de la science des artilleurs français ; le point d'orgue s 'est situé à partir de Verdun , puis en 1918 , et surtout pendant " les cents jours" , période pendant laquelle les Alliés " poussaient" l'ennemi , et massacraient  les batteries allemandes ; mais ,à cette époque là , on n'allait pas trop vite pour avancer ; l'ennemi ne reculait que de un , ou deux ou trois km par jour ; donc , on pouvait " faire suivre " toute l' infrastucture , trés lourde . L' ennui , c'est que tous ces systèmes , trés élaborés, ont des délais de mise en oeuvre de l'ordre minimum de six heures , allant à 24 heures ! Et si l' ennemi , lisant les livres d'instruction, tels que ceux lus pour établir cette page , s' imprègne bien du systême français , il lit " à livre ouvert "que l'Armée Française est terrible , " la meilleure du Monde" ;  mais  qu 'elle est  lente; trés lente , lente à en mourrir ; c'est   ce qu'il  a appliqué et fait à Sedan-  en Mai 1940 , en écrasant ou noyant l'artillerie française, et allant trés vite, plus vite , même d'une manière illogique , pour " axphysier" l'adversaire et échapper ainsi à  la fixité ,qui aurait pu  lui causer du tort ..( Source : cours d'artillerie  1939-1940). ( " mais , entre leur départ du Heimat, l' entrée en Belgique, et le cheminement en Belgique , et les 200 km d' embouteillages , ILS  ont eu beaucoup de chance ") . L' instruction doit dater de 1924 , elle date  en fait , de février 1919 , et elle n' a pas été changée ou modifiée , et elle sert de base d' étude aux élèves-officiers de 1939-1940 et, ou aux " Officiers en Re - cours";  .Mais ce magnifique dispositif  porte l'inscription " début de stabilisation" , ce qui veut dire " que la pensée unique réédite  les procédés de 1918"  c 'est à dire la lenteur méthodique de l'assomoir mathématique, mécanique, progressif, lent et sur...." Keine stabilization, Ils ont dit!".  ( Et pourtant , lors des " Cent Jours" , la relation Infanterie-chars légers-aviation d 'observation- radio- et artillerie lourde avait été réalisée, et fonctionnait trés bien....).

   - Exemple du système observation-liaison- tir d' artillerie : les 17 et 18 Mai 1940 , l' ouvrage d' infanterie (petit) de Villy-la Ferté est assiégé . Son " gros" voisin , le gros ouvrage du Chénois, seul ouvrage d' artillerie des Ardennes (limite Meuse-Ardennes) l ' épaule en pratiquant des tirs d' épouillage des abords Ouest et des dessus ( mais le P.O fait quatre hectares, trop grand, plus les glacis) ; il n 'y a qu 'un tourelle à deux 75 mm au Chenois , le B 5 ( "on " a oublié de placer l ' autre- prévue- le B 6, par manque de sous ); les deux canons tirent sur le P.O, beaucoup d' obus explosifs ,  ; 4000 coups sont tirés ( et un canon éclate , tuant les deux canonniers) (l e temps de changer la pièce, de nettoyer et rééquiper , a été mis à profit par les Allemands pour tuer la Ferté...); les tirs sont observés à partir du GFM haut du B 4 , soldat observateur Pol Peltier , et par l ' Officier d' artillerie du Chénois, et par la cloche VDP du bloc B 2 de la Ferté -liè par ligne directe au P.C Artillerie du Chénois  ; les éléments sont communiqués directement aux P.C, mais surtout au P.C du B 5 et exploités directement ; également les observateurs de la Ferté communiquement directement par le central téléphonique- tenu par un Adjudant- à l' Officier Observateur installé dans le B 4 , et qui dirige immédiatement  les pièces de la tourelle du B 5 . Ce , bien entendu , en fonction de la visibilité sur l ' ouvrage , couvert de fumigènes, et d' à partir des cloches de la Ferté. Néammoins, tant par les tirs de F.M des cloches de la Ferté , que par les tirs des 75 mm du Chénois, divers assauts d' infanterie allemande et de pionniers se sont terminés par la mort des vagues , et ce ,à trés courte portée des cuirassements ( les Allemands ont dû avoir 200 à 250 tués lors des trois jours d ' attaque 17, 18 et 19 Mai 1940).  Plus de 20.000 obus divers , dont des 210 mm sont tombés sur les quatre hectares d' emprise du P.O, en plus des 4000 français, de 75 mm.

 

...Aparté , rien à voir avec la Ligne Maginot , les observatoires , le téléphone ...mais avec l'Armée Française : " Fascicule du nouveau canon de 25mm modéle léger , 1937" , avec frein de bouche, idem que le Puteaux 1934, mais ne pesant que 300 kg ( au lieu des 500 kg du Puteaux) :"en conclusion :ce canon anti-char est trés léger, donc il peut aisément être tracté à la vitesse de six km/h par un cheval, apportant ainsi l' appui nécessaire."..!  A SIX KM/H, tracté  au cheval, avec en face, les 30 - 40 km/h des Allemands, alors que cet engin peut être même tracté par une moto puissante, ou un VL de réquisition, et à la même vitesse que " ceux d' en face"! ; Hérésie conceptuelle. Un exellent canon, mais pieds et poings liés par une idéologie stupide . "On a les chefs que l'on mérite".( document trouvé " au tas") ( "logé-hébergé " là , en attendant mieux...)

 canon-25-APX M 37 300kg,hippo,hip-hip-hip-hourra!canon-25-M 1937 léger   Aparté , quant à l ' efficacité de la combinaison artillerie- observation-transmission par téléphone et synchronisation . Celà peut s ' observer sur le terrain, s ' il est " vierge", c' est à dire  : s' il est resté en l ' état , sans qu 'il soit touché, remanié, rebouché, nivelé , et que  , aprés l ' action , seule la nature a agit ; partout  ailleurs , l ' homme a repris ses droits : tranchéees , trous rebouchés, tout nivelé ( comme ce qui se fait en Argonne- L a Harazée par l ' ONF, ou ailleurs , qui nivèle et replante). -  Exemple du "travail" de l ' artillerie allemande ( la française fait autant ou aussi bien) : Lieu : route entre Malandry et Inor , limite Ardennes-Meuse ; époque : fin Mai 1940 , aprés la percée , et la chute de la Ferté; situation : Huntzinger , commandant la II eme armée , aprés la percée et la destruction de sa 55 eme division d 'infanterie , qui tenait Sedan, fait basculer son aile gauche : 71 eme D.I et 3 eme D.I  C d' un quart de tour " pour couvrir ses flancs et protéger la Ligne Maginot !"( ? ?)  ( " le Complot ????") .Ce faisant , il élargit la brêche qui passe ainsi de cinq - huit km à trente Km. Les Allemands poussent et poursuivent et se heurtent à cette aille installée Nord- Sud , : la " bretelle d' Inor" , qui tournera à  " l ' enfer vert d' Inor" , combats terribles. Mais , auparavant , ils ne peuvent passer l ' obstacle de la route Malandry-Inor , battue par les feux de tranchées ( maigres) de la 3 eme DIC ; aprés de multiples essais de débordements , l ' artillerie allemande , renseignée, précise , minutée - seconde !  tire ses150 mm sur la ligne de tranchées , en surplomb : tirs d' éfficacité tant en percutants qu 'en obus à retard : la tranchée maigre , sur quelques 200 mètres de long, en surplomb de la dite route est volatilisée par une dizaine d ' entonnoirs ;  les coups sont " mis à la main" ( c'est le terme des artilleurs ) ; dés le feu passé , les Allemands , couchés de l ' autre côté ( ouest ) de la route , s ' engouffrent dans cette brêche ...Il reste sept à huit entonnoirs , trés visibles " juste au ras " et un magnifique obus- défusé- de 150mm. ...Les Français faisaient aussi bien ,ou mieux ( sauf avec le St Chamond 155 C peu précis)....

  Type d' observatoire allemand,1 ere G.M , Ferme Navarin, front de Champagne, RN 77 . C' est un cylindre de béton et blocs, chapeau béton armé, petit visuel , trou cylindrique sur le chapeau pour un périscope; carapace suffisante pour résister aux obus de 75 mm; le bloc est raccordé au système de tranchées.Economique, petit , pas cher, efficace...Ferme Navarin ,RN 77.    Autre : butte de Vauquois, Vauquois Ost : bloc allemand " de quat- sous"  équipé de deux périscopes, au sommet des " galeries profondes".14/03/2015.   vAUQUOIS;observatoire allemand,periscopes

 

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